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    Un groupe de Grandes Oies des neiges en vol au-dessus d’une plaine orangée entourée de montagnes enneigées.
    En quittant l’Arctique avant la fin de l’été, les grandes oies des neiges migrent vers le sud et survolent le Québec. Elles s’y alimentent pendant plusieurs semaines puis continuent vers leurs aires d’hivernage sur la côte Est des États-Unis. Une migration de plus de 4000 km !

    Rencontres des oiseaux migrateurs de l’île Bylot en Arctique

    Peu importe comment je suis arrivé ici à seulement 1500 km du Pôle Nord, ma mission pour les prochains jours consiste à suivre une équipe de scientifiques et à documenter la biodiversité locale avec mon amie journaliste Anne Pelouas. Nous venons d’arriver au cœur du parc national de Sirmilik dans le sanctuaire des oiseaux migrateurs de l’île Bylot. Et y’a pas à dire, je suis au paradis des photographes !

    En survolant cette île grande comme la Jamaïque, nous avons constaté la beauté des paysages dans ce royaume de montagnes et de glaciers à perte de vue. Plus au sud de l’île se trouvent de grandes régions relativement plates et recouvertes d’une végétation très diversifiée. Cette haute toundra arctique s’avère le lieu de nidification pour la grande oie des neiges.

    Gros plan d’une Grande Oie des neiges.
    Comme la Grande Oie des neiges fouillent dans la vase, les plumes de sa tête prennent souvent la couleur rouille due aux résidus de fer présents dans le sol. Et pour se nourrir, elle arrache les racines des plantes grâce aux denticules de son bec. Cette zone noire s’appelle le sourire.

    Gros plan d’une plume blanche sur fond noir dans la lumière du soleil.
    « Comme chez plusieurs espèces de sauvagine, les oies muent (perdent et remplacent) toutes leurs plumes de vol simultanément à chaque été, ce qui les rend incapables de voler et donc très vulnérables aux prédateurs », selon le Centre d’études nordiques de l’Université Laval.

    Au milieux d’une végétation aride, un lagopède alpin regarde au loin.
    Même si la mue a débuté vers la tête, ce mâle possède encore son plumage hivernal. Chaque rencontre avec un lagopède alpin s’avère différente !

    Un pluvier bronzé près d’une petite touffe de lichen.
    Durant l’été, de nombreuses espèces d’oiseaux de rivage nichent dans la toundra arctique. Grand migrateur, ce pluvier bronzé migrera ensuite sur plusieurs milliers de kilomètres jusqu’au sud de l’Amérique du Sud.

    Sur fond de ciel bleu, un labbe à longue queue déploie ses ailes.
    Bien que le labbe à longue queue vive en mer, cet oiseau marin devient terrestre durant la période de reproduction. Sur l’île Bylot, ce prédateur aviaire se nourrit alors principalement de lemmings.

    Sur l’île Bylot, il n’y a pas juste des oiseaux, des scientifiques et des Inuits. Plusieurs personnes ont déjà aperçu des ours polaires. Par sécurité, notre campement est donc entouré d’une haute barrière électrique. À l’extérieur de ce refuge, comme le territoire demeure relativement plat ici et que le soleil brille constamment durant l’été, cela s’avère facile de voir de loin une gigantesque boule de poils blancs…

    Pour en savoir plus

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