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Debout sur un banc de sable, un groupe d’adolescent(e)s observe attentivement les alentours par une journée d’été.
La passion de ces nouvelles générations vient s’ajouter à celle de tous les intervenants qui ont mis la main à la pâte au cours des dernières décennies. Au final, tous ces gens visent le même objectif : donner à la nature une deuxième chance, et s’assurer que les résidents et les visiteurs continuent de prendre soin du parc et de son écosystème.

Les jeunes protecteurs du parc national Abel Tasman

Project Janszoon a pour mission de restaurer et préserver la richesse du parc national Abel Tasman. Avec l’aide de partenaires, l’équipe derrière le projet se donne jusqu’au 100e anniversaire du parc, en 2042, pour assurer la pérennité de sa faune et de sa flore. En accélérant la restauration naturelle du parc, il leur est possible de réintégrer des espèces disparues, de stabiliser celles en voie d’extinction, et de viser le rétablissement de l’écosystème.

Sur place, j’ai eu la chance de passer une journée complète avec plusieurs de ces jeunes au sein de ce magnifique parc. « Je crois que c’est important que je sois impliquée à titre de représentante de ma communauté. Le parc national Abel Tasman et son environnement ajoutent une grande valeur culturelle à la région. », m’a expliqué Saskia, une jeune ambassadrice māorie. 

Melon, quand à lui, admet avoir remarqué des changements dans le parc depuis son implication. « Il n’y avait pas d’oiseaux avant, mais ils sont revenus graduellement. C’est même devenu difficile de dormir tellement les oiseaux chantent à partir de 5 heures du matin. », conclut ce jeune homme en souriant. Tout au long de cette journée inspirante, j’ai constaté leur grande conscience environnementale. Et quel meilleur endroit que la Nouvelle-Zélande pour développer ce réflexe et cette sensibilité ?. Après tout, ces jeunes sont les protecteurs et les gardiens futurs de la richesse du pays. 

Pour en savoir plus :
lien vers le site officiel du Project Janszoon

Dans un champ avec de grandes graminées, des adolescent(e)s et des adultes forment un grand cercle et échangent ensemble.
Project Janszoon réunit le Department of Conservation (DOC), le Abel Tasman Birdsong Trust, des scientifiques, des entreprises touristiques, mais surtout les communautés autochtones iwi (Māori) et des bénévoles qui ont à cœur le parc national Abel Tasman.

Une dizaine de canards bruns se déplace sur une rivière près d’une plage avec de grandes graminées.
À Hadfield Clearing, des sarcelles de Nouvelle-Zélande ont été réintroduites près d’une rivière en 2017. Ce petit canard barboteur s’avère l’espèce d’oiseau aquatique la plus rare du pays.

Ancien champ agricole d’herbes jaunes avec de petits arbustes poussant ici et là.
À partir du XIXe siècle, la famille Hadfield a installé sa ferme ovine sur cette zone de 25 hectares aujourd’hui administrée par le Departement of Conservation. Depuis 2014, plusieurs dizaines de milliers d’arbres ont été plantés ici afin de régénérer une ancienne forêt marécageuse.

Un adolescent blond avec un t-shirt blanc sourit au photographe.
Lancé en 2014, le programme Youth Ambassador crée des partenariats avec les écoles locales et amène des jeunes comme Melon à s’impliquer dans leur communauté en tant qu’ambassadeur du Project Janszoon.

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