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Silhouette d’une femme escaladant une falaise dans un paysage urbain entouré de montagnes verdoyantes et d’une baie parsemé de voiliers.
Le Pain de Sucre est même plus haut que la tour Eiffel. Les adeptes d’escalade se délectent de ce bloc monolithique de 396 mètres de haut.

Ma chère Rio de Janeiro,

Ma chère Rio de Janeiro,

Depuis des lunes, tu es mondialement connue, reconnue et aimée. Les foules s’exaltent au son de quelques mots. Carnaval, les jambes se mettent à danser, les yeux s’emplissent de couleurs et la joie se lit sur les visages. Copacabana et Ipanema, le son des vagues chuchote aux oreilles des airs de vacances, le sable est chaud toute l’année, brûlant en été. Heureusement, ma chère Rio, tu protèges l’une des plus grandes forêts urbaines au monde. Il y fait bon vivre à l’ombre de cette végétation luxuriante. Mais comment englober d’un regard le parc national de Tijuca ? En volant bien sûr ! Pour la première fois de ma vie, je me suis senti comme un oiseau lorsque mes pieds ont quitté la Pedra Bonita en deltaplane. Quelle sensation incroyable, le vent qui caresse la peau, la vue imposante et le silence qui surprend.

Plus bruyant et lent certes, mais surtout plus accessible, le train à crémaillère est aussi une bonne option pour prendre de la hauteur. Quatre kilomètres dans la forêt parcourus en vingt minutes. Grâce à toi, ma chère Rio, plus besoin de suer pour gravir 700 mètres d’altitude. C’est alors au sommet du mont Corcovado que tu nous réserves un accueil unique. New York a sa Statue de la Liberté, Paris sa tour Eiffel et toi, l’imposant Christ Rédempteur. 

Groupe de personnes aux pieds d’une statue du Christ de 40 mètres de hauteur et fabriquée en béton.
Quelles que soient nos croyances, impossible de ne pas être fasciné par ce symbole qui veille sur toi depuis 1931. Encore quelques marches et tu nous offres à bras grands ouverts un panorama époustouflant.

De nombreux bateaux se réfugient au creux des baies de cette ville côtière entourée de montagnes verdoyantes.
C’est là que j’ai pu admirer les courbes de ton corps, subtile mosaïque de forêts tropicales qui plonge dans l’océan et de baies qui caressent les monts verdoyants.

De nombreuses personnes se prélassent sur le sable chaud près de l’ombre des palmiers de cette promenade aux pavés onduleux.
Dans ce décor, l’Homme a bien sûr trouvé sa place, plus exactement, il l’a prise. C’est près de sept-millions d’âmes (12 millions dans l’aire urbaine) qui cherchent le bonheur au creux de tes bras. Ici, plage de Copacabana.

Comment expliquer que toi, la ville merveilleuse apparaisse si souvent dans les médias sous un autre jour ? Criminalité élevée, agressions, vols, sans oublier le pouvoir des narcotrafiquants dans certaines favélas. Nous sommes bien loin de la carte postale idyllique. Lors de nos escapades, nous étions donc prudents sans pour autant être paranoïaques. Pas de sac à dos. Vanessa avait un sac en tissu pour nos vestes et un peu d’eau. Et moi, un sac plastique doublé accueillait mon appareil photo, trois objectifs et une caméra vidéo. Ainsi pendant dix jours, nous avons exploré tes splendeurs, ma chère Rio. Il y a eu de grands classiques comme ton jardin botanique ou encore une balade en tramway à Santa Teresa. Ce quartier est animé les fins de semaine. Sans oublier, bien sûr, le populaire coucher de soleil à la plage d’Ipanema. 

Les rayons du soleil transpercent les nuages et illuminent une longue plage de sable urbaine où s’activent des centaines de personnes.
Avec une température annuelle moyenne de 24 degrés Celsius et plus de 200 jours de soleil par année, les habitants profitent des plages même si la qualité de l’eau laisse à désirer. Ici, plage d’Ipanema au coucher du soleil.

Paysage urbain nocturne constitué d’innombrables lumières scintillantes et de plusieurs silhouettes sombres de montagnes.
Ma chère Rio, difficile de ne pas être charmé par tes dizaines de plages, tes nombreux musées, tes innombrables salles de spectacle, ton célèbre stade de soccer et bien sûr ton majestueux carnaval !

Bien souvent, après la plage, les touristes et les Cariocas troquent leurs costumes de bain pour des habits décontractés. Ce soir, allons danser la samba ! Difficile de faire un choix, ma chère Rio, tu as tant à proposer. À la place du quartier de Lapa, nous avons pris la direction de la Petite Afrique dans ta zone portuaire. De même que La Nouvelle-Orléans pour le jazz, la Pedra do Sal est considérée comme le berceau de la samba. D’ailleurs, chaque lundi soir, il y a une roda de samba. Difficile parfois d’y danser tellement il y a de monde sur cette petite place. À n’en point douter, c’est un incontournable où la foule est heureuse aux rythmes de la musique live. Avant de te quitter ma chère Rio, j’aimerais te remercier pour ce séjour intense, que d’émotions à tes côtés !

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