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Lever de soleil et détails d’une haute montagne avec ses neiges éternelles et des glaciers.
Voici le mont Cook, le plus haut sommet de la Nouvelle-Zélande vu depuis le sentier de la vallée Hooker.

Un an en Nouvelle-Zélande | Nos coups de cœur

Un an à explorer les beautés naturelles, les villes fascinantes, l’histoire et même les pistes cyclables du pays ! Un an de rencontres avec un peuple étonnant.

Beautés naturelles
Villes fascinantes
Histoire
Explorer à vélo
Rencontres

Beautés naturelles

Explorer un pays ayant une telle diversité sur une si petite superficie a constitué un véritable coup de cœur. Pas besoin de parcourir des centaines de kilomètres pour changer de décor ! En quelques jours à peine, nous avons admiré des forêts luxuriantes, des plages de sable doré ou noir, des crêtes rocheuses ou enneigées. Tantôt dramatiques voire mystiques, tantôt féériques, ces beautés s’avèrent uniques. Parmi nos coups de cœur, citons la péninsule Otago pour sa biodiversité étonnante, les parcs nationaux de Paparoa, des Lacs Nelson et celui de Tongariro. Il y a eu aussi ces petits coins cachés qui ne figurent ni dans les guides ni sur Internet. Sans surprise, ils ne portent aucun nom. Nous les avons découverts par hasard quand ce n’était pas des résidents qui nous ont révélé leur secret…

Impressionnant volcan Ngauruhoe avec son cratère rouge au lever du soleil.
Le parc national de Tongariro est constitué de trois volcans : Ngauruhoe (ci-dessus), Tongariro et Ruapehu.

À ce jour, les parcs nationaux du pays représentent un territoire de plus de 30 000 km2, soit l’équivalent de la superficie de la Belgique ou trois fois celle de la Jamaïque. Et grâce à l’agence gouvernementale Department of Conservation – Te Papa Atawhai (DOC), l’accès à ce terrain de jeu incroyable demeure gratuit. Peut-être, comme le disait le Québécois Christian Larsen, parce que « les choses gratuites sont souvent celles qui ont le plus de prix… ».

Un manchot à œil jaune marche sur un petit sentier entouré de lupins jaunes.
Espèce unique à la Nouvelle-Zélande, la population du manchot à œil jaune diminue année après année et cette espèce de manchot figure parmi les plus rares au monde.

Villes fascinantes

En observant une carte de Nouvelle-Zélande, j’ai toujours été frappé de voir à quel point les trois plus grandes villes y sont placées de manière stratégique. Auckland demeure la principale porte d’entrée sur l’île du Nord tandis que Christchurch joue ce rôle à merveille pour les nombreux visiteurs de l’île du Sud. Et, presque à mi-chemin entre les deux, Wellington, passage obligé pour traverser en bateau d’une île à l’autre, est parfaitement située pour affirmer son statut de capitale du pays. Même si nous prenons aussi le chemin des icônes incontournables, Vanessa et moi apprécions toujours autant suivre notre intuition pour sortir des sentiers battus. Après tout, se perdre en ville reste le meilleur moyen pour être surpris.

Nuages aux teintes rosées par l’aurore et point de vue en hauteur sur le centre-ville d’Auckland encore illuminé.
Aussi surprenant que cela peut paraître, Auckland repose sur un champ volcanique de près de 50 volcans ! Certains éteints, bien sûr, mais d’autres endormis seulement ! (photo prise depuis le cratère du mont Eden)

Histoire

Dans la mythologie māorie, le couple Ranginui et Papatūānuku symbolise le père céleste et la mère terrestre, à l’origine de la création du monde. Leurs enfants, eux, incarnent les dieux gardiens de royaumes naturels, tels que la forêt, la mer, les aliments cultivés ou non et les tremblements de terre, pour ne citer que ceux-là. Et selon une légende māorie, il y a quelque 800 ans, l’explorateur Kupe aurait été le premier à atteindre ses côtes escarpées, déclenchant la migration polynésienne vers cette terre bénie. Au fil des siècles, les traditions se sont transmises à travers les générations grâce au chant, à la sculpture et au tissage. À cette époque de culture orale, il n’y avait aucun écrit en māori. En fait, le terme māori n’existait même pas avant l’arrivée des premiers Européens ! Puis un jour, ces deux croyances lointaines entrèrent en collision pour graver l’une des Histoires les plus jeunes au monde.

Photos anciennes en noir et blanc présentant une famille de Nouvelle-Zélande dont le père est Anglais d’origine et la mère Maori.
Maorie par sa mère, Anglaise par son père, Frances Teresa Temepara aime le cheval, le tissage et les sports extrêmes comme le saut en parachute !

Explorer à vélo

Parmi nos coups de cœur à vélo, citons la côte Ouest de Île du Sud, un véritable paradis du plein air ! Et que dire de la surprenante piste cyclable de Timber avec ses ponts suspendus ? Sans oublier celle d’Otago Central Rail Trail, un ancien tronçon ferroviaire de 150 km qui propose désormais un voyage à la fois bucolique et historique au cœur de la superbe région. 

Une femme et son fils roulent à vélo sur un pont suspendu entouré d’une végétation luxuriante.
Je ne trouve pas les mots pour bien exprimer cette sensation unique de percevoir les moindres vibrations de cette structure colossale tout en pédalant à plus de cinquante mètres au-dessus de la rivière. Absolument grandiose !

En faisant le choix de voyager sur deux roues, nous souhaitons faire l’éloge de la lenteur afin de retrouver la capacité d’émerveillement de notre enfance. Bien sûr avec Léo, puis Lucas, nous devons suivre également une routine familiale, comme à la maison. Par contre, notre quotidien se déroule beaucoup plus simplement ici. Pourquoi ? Parce que notre tente en Nouvelle-Zélande ne s’avère guère plus grande qu’une table de ping-pong. Moins de matériel à gérer signifie aussi moins de temps perdu pour ça. Le minimalisme s’invite partout où c’est possible afin de nous simplifier la vie et nous concentrer sur l’essentiel, les découvertes et les rencontres.

Sortie d’un tunnel, une cyclotouriste roule sur un chemin de gravier dans un décor rocailleux et parsemé de grandes herbes.
Chaque jour, nous ignorons où nous allons camper ni combien de kilomètres nous allons franchir. L’état de la route, le vent, la pluie, la fatigue de chacun, bref, rien n’est prévu et tout est possible !

Rencontres

Naturellement, l’expérience vécue et partagée nécessite une langue commune. L’anglais nous a ouvert bien des portes, mais, rien de tel que de connaître quelques mots bien choisis dans la langue māorie pour rejoindre le cœur de ce peuple fascinant. Pour dire bonjour, les mots māoris se prononcent simplement, Kia Ora avec un r légèrement roulé. Je garde d’ailleurs un souvenir mémorable de ma rencontre avec la gardienne des traditions, Fiona Collins. Comme au temps des premiers Māoris, cette artiste utilise un coquillage pour racler la chair des feuilles de lin et en retirer des fibres qu’elle tisse avec ses mains. Et comment oublier notre rencontre avec les jeunes protecteurs du parc national Abel Tasman ? Depuis plusieurs années, Project Janszoon a pour mission de restaurer et préserver la richesse du plus petit parc national de Nouvelle-Zélande.

Debout sur un banc de sable, un groupe d’adolescent(e)s observe attentivement les alentours par une journée d’été.
Lancé en 2014, le programme Youth Ambassador crée des partenariats avec les écoles locales et amène des jeunes à s’impliquer dans leur communauté en tant qu’ambassadeur du Project Janszoon.

Bref, ces rencontres inspirantes, ces villes fascinantes, ces histoires, ces beautés naturelles nourrissent autant notre âme que notre documentaire et nos livres sur ce pays étonnant.

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