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Portrait d’une femme māorie tatouée sur les épaules portant une robe bleu foncée.
Après ses études à l’École d’art visuel et de design māori du collège Toihoukura, l’artiste Fiona Collins a amené son tissage à un niveau professionnel et a même exposé ses créations à plusieurs reprises en Europe.

Le réveil des énergies créatrices avec Fiona Collins

« J’aime le lin. J’aime cette fibre. J’aime tisser. Cela nécessite tellement de temps que j’atteins un état de méditation ! » s’exclame Fiona Collins, les yeux brillants. Cette histoire d’amour remonte au temps où Fiona et ses sœurs vivaient avec leurs parents à la ferme de grand-mère Madeleine Tangohau. « À cette époque, il y avait peu de technologie, tous les travaux s’effectuaient à la main », m’explique Fiona. 

Fiona acquit ainsi les rudiments du tissage pratique, celui qui a permis aux premiers Māoris de combler les besoins du quotidien tels que des paniers pour ramasser les légumes, des chapeaux et même des tapis pour dormir. Lors d’un séminaire à Rotoiti, Fiona a appris, grâce à sa tante Christina Wirihana, une technique originale et ancestrale pour tisser des œuvres plus sophistiquées. 

J’ai pu admirer les somptueuses créations de Fiona au musée Tairāwhiti lors de l’exposition collective intitulée OHO, le réveil des énergies créatrices

Pour en savoir plus : lien vers la page Facebook de l’artiste Fiona Collins

Des fibres blanches forment un cercle autour d’une coquille de moule posée sur de grandes feuilles vertes rigides.
Comme au temps des premiers Māoris, Fiona utilise un coquillage tranchant pour racler la chair verte des feuilles de lin et en retirer ainsi les fibres blanches et soyeuses qu’elle tisse avec ses mains habiles.

Un mannequin en plastique porte une sorte de cape māorie tissée avec une multitude de petites cordes blanches.
Aujourd’hui, en élevant son art au tissage des prestigieux kākahu, Fiona s’avère une gardienne des traditions māories. « J’espère que mes œuvres seront encore là dans 100 ans ! », dit-elle en souriant.

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